Te souviens-tu des jours en fleurs quand nous hantions les vastes collines, La main dans la main des silences que nous ne savions pas remplir ? Nos conversations en sens unique, Nous les laissions suspendues dans la brise, Nous les laissions se disperser, comme les fleurs dans les arbres.
Dans des pièces bâties de lumière, nous jouions nos jeux maladroits - Tels des papillons hésitants à se baigner dans les flammes. Nos conversations en sens unique, , Nous les laissions suspendues dans la brise, , Nous les laissions se disperser, comme les fleurs dans les arbres.
Tout en soupirant après ce moment entre ton corps et le mien, Parfois je me demandais comment la faim pouvait persister si longtemps : L'appétit devrait construire ses propres illusions.
En dérivant sur les basses eaux, nous avons chanté nos dernières chansons, Qu'importe, si chacun de nous choisississait des tonalités différentes ? Arriva un moment où chaque corde s'est tuée : Silencieusement, le courant emporta nos conversations en sens unique.
(Conversations en sens unique) Quand elle m'a redonné
mes lettres d'amour, je me suis rendu compte que toutes nos
conversations étaient en sens unique ! Avec le saxo sinueux
d'Alexis Van Eeckhout.
Une traduction en français n'est pas encore disponible pour cette chanson.
Beyond the horizon, behind the sun At the end of the rainbow, life has only begun In the long hours of twilight ’neath the stardust above Beyond the horizon, it is easy to love
I’m touched with desire What don’t I do? Through flame and through fire I’ll build my world around you
Beyond the horizon, in the Springtime or Fall Love waits forever for one and for all
Beyond the horizon across the divide ’Round about midnight, we’ll be on the same side Down in the valley the water runs cold Beyond the horizon someone prayed for your soul
My wretched heart’s pounding I felt an angel’s kiss My memories are drowning In mortal bliss
Beyond the horizon, at the end of the game Every step that you take, I’m walking the same
Beyond the horizon the night winds blow The theme of a melody from many moons ago The bells of St. Mary, how sweetly they chime Beyond the horizon I found you just in time
It’s dark and it’s dreary I ponder in vain I’m weakened, I’m weary My repentance is plain
Beyond the horizon o’er the treacherous sea I still can’t believe that you’ve set aside your love for me
Beyond the horizon, ’neath crimson skies In the soft light of morning I’ll follow you with my eyes Through countries and kingdoms and temples of stone Beyond the horizon right down to the bone
It’s the right time of the season Someone there always cared There’s always a reason Why someone’s life has been spared
Beyond the horizon the sky is so blue I’ve got more than a lifetime to live lovin’ you
Vous pouvez presque sentir le cheval se balancer sous moi alors que je me
promène à travers ce chanson délicieuse. A la mélodie de Red Sails In The
Sunset.
Une traduction en français n'est pas encore disponible pour cette chanson.
Now it is the evening, the day is dying fast; Curtains closing windows, lights behind the glass. All the promises of the morning have now been laid to rest; I think it's time to follow: for I'm tired, and you're warm.
The day broke with a fanfare, and ran on like a hymn; And now the final chords are drawing what's left in. The sun shone like a Sunday, the dusk is as pale as dawn; I think it's time to rest now: for I'm tired, and you're warm.
Au printemps, quand nous étions jeunes, nous courrions vers la rivière, Là, dans la forêt, où les arbres effleurent le ciel; Tachetés par le soleil, nous rions dans la rivière, Avec l'avenir dans nos yeux.
La brume de l'été nous attirait vers la rivière, Nous barbotions dans l'eau que l'ombre gardait fraiche; Paressant dans l'herbe haute, nous savions vivre pour toujours Et la rivière au lent écoulement le savait elle aussi.
Nous dansions sous le soleil, nous filions dans le vent, Héros insouciants, nous étions jeunes alors; S'il nous faut filer, pourquoi ne pas filer comme l'eau, Comme l'eau de la rivière?
Voilà que le brouillard d'automne étend son voile sur la rivière, Chaque feuille qui tombe est un souvenir qui s'efface; L'eau coule lentement, elle glisse sans un murmure Et sans un murmure, elle quitte le soleil pour l'ombre.
Le viellard ouvre grand sa fenêtre sur la rivière. Comment peut-on se mouvoir si lentement et disparaitre si vite? Cherchant à se remémorer les printemps sur la rivière, Il fixe des yeux l'horison, mais lui se tourne vers le passé.
Une réflexion lyrique sur le caractère éphémère de la vie, à un accompagnement
de
guitare complexe, subtilement mis en valeur par la contrebasse rythmique de Coco
Correch.